À Cuba, dire ce qu’on pense, c’est risquer la prison

Toute vérité n’est pas bonne à dire à Cuba si on craint la prison. Alors, une campagne a été montée pour mettre en lumière les atteintes aux droits de l’Homme dont sont victimes les prisonniers politiques dans ce pays.

À l’occasion du lancement de cette intervention, baptisée Jailed for What? (En prison pour quoi ?), la représentante des États-Unis au Conseil économique et social des Nations unies, l’ambassadrice Kelley Currie, a rappelé la position de son gouvernement : « Le président Trump prend des dispositions pour tenir le régime cubain responsable de ses violations des droits de l’Homme et il est solidaire des aspirations du peuple cubain à vivre en liberté », a-t-elle déclaré.