Casques bleus et cœurs en or

Une femme Casque bleu tenant un enfant dans les bras, avec une autre enfant debout derrière elle (Crédit photo : ONU/JC McIlwaine)
Les femmes Casques bleus contribuent à la réduction des conflits et des affrontements. Elles apportent aussi un plus grand sentiment de sécurité aux femmes et aux enfants. (Crédit photo : ONU/JC McIlwaine)

Les opérations de maintien de la paix de l’ONU n’ont jamais été aussi cruciales. Elles figurent parmi les moyens les plus efficaces pour aider les pays en sortie de conflit à s’avancer sur la voie d’une paix durable.

Reconnaissables à leurs bérets et casques bleus, les gardiens de la paix de l’ONU* sont mobilisés aussi bien pour empêcher des conflits que pour protéger les civils. Ils apportent également un soutien à l’organisation d’élections, aident à restaurer l’État de droit et interviennent sur la ligne de front contre les extrémistes violents.

Plus d’un million de personnes ont servi dans les rangs des casques bleus depuis 1948. Aujourd’hui, ils sont 125 000 à travailler ensemble pour la paix, en uniforme ou en civil, et originaires de presque tous les pays.

Deux femmes portant une casquette bleue sourient et s’adressent à un groupe de femmes et d’enfants dans une salle de classe. (MINUAD/Albert González Farran)
(MINUAD/Albert González Farran)

Des policiers qui collaborent avec la mission conjointe des Nations unies et de l’Union africaine au Darfour (MINUAD) animent des cours d’anglais pour des femmes dans un camp de réfugiés. En plus de leurs efforts pour redonner confiance aux populations, les casques bleus proposent souvent des programmes de formation.

Des gens marchent ou se tiennent debout à côté de tentes dans un camp inondé. (Photo ONU/JC McIlwaine)
(Photo ONU/JC McIlwaine)

La mission des Nation unies au Soudan du Sud (MINUSS) et ses partenaires humanitaires sont intervenus pour améliorer les conditions de vie d’un site de protection des civils qui était inondé. Préserver les civils de la violence fait partie de beaucoup d’opérations de maintien de la paix de l’ONU.

Deux hommes portant une casquette bleue et des enfants joignent leurs mains. (MINUAD/Albert González Farran)
(MINUAD/Albert González Farran)

Des casques bleus thaïlandais de la MINUAD montrent à des enfants d’un camp de réfugiés au Darfour comment les gens se saluent en Thaïlande. Les casques bleus apportent avec eux des cultures et des expériences variées : une diversité enrichissante, aussi bien pour la mission que pour le public qu’elle sert.

Des hommes, accroupis, en train de monter un mur de briques et de ciment, guidés par un autre homme portant un béret bleu. (Photo ONU/Staton Winter)
(Photo ONU/Staton Winter)

Des casques bleus pakistanais de la mission des Nations unies au Libéria (MINUL) montrent à de jeunes Libériens comment poser des briques au cours d’une formation professionnelle. Le Pakistan figure parmi les trois pays qui fournissent les plus grands contingents* aux missions de maintien de la paix de l’ONU.

Des fillettes peignent une fresque murale ; l’une d’elle discute avec un homme portant un béret bleu. (Photo ONU)
(Photo ONU)

Des élèves représentent leur vision de la paix en peinture lors d’une fête organisée par la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL). Il s’agit de la plus vieille mission de maintien de la paix. Elle comprend aujourd’hui des opérations humanitaires et de développement, tel que l’enseignement aux enfants des gestes d’hygiène et de la sécurité routière.

Un homme vêtu d’un uniforme de protection, dont un casque bleu avec une visière, manipule du matériel métallique au sol. Derrière lui, un homme habillé de façon similaire, est en train de marcher. (Photo ONU/Pasqual Gorriz)
(Photo ONU/Pasqual Gorriz)

Une équipe de démineurs français est à l’œuvre au Liban du Sud dans le cadre des opérations de la FINUL. Le déminage permet aux organisations humanitaires d’apporter leur aide, et aux habitants locaux, de vivre sans crainte de faire un faux pas qui serait fatal.

Vous avez des questions à propos de l’avenir des casques bleus de l’ONU ? Posez-les en utilisant le hashtag #PKTalk.

 

*en anglais