Vous êtes la cible potentielle du tueur le plus dangereux du monde. Vous pourriez croiser son chemin à tout moment. Mais vous pouvez réduire le risque que cette confrontation, si elle a lieu, ne vous soit fatale.

Les maladies cardiaques et cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde. Elles sont responsables de 31 % des décès, soit plus que tout autre danger ou maladie. Elles font actuellement plus de 17 millions de morts par an. Un chiffre qui s’élèvera à plus de 23 millions d’ici 2030*.

Mais tout n’est pas perdu d’avance : les choix que vous faites au quotidien influencent considérablement votre risque de contracter une maladie cardiaque. À l’occasion de la Journée mondiale du cœur*, le 29 septembre, voici cinq habitudes saines à partager.

S’abstenir de fumer

Gros plan sur une mise en garde contre le tabagisme sur un paquet de cigarettes (© AP Images)
Les États-Unis sont l’un des nombreux pays qui exigent des mises en garde contre le tabagisme sur tous les emballages de cigarettes et autres produits de tabac. (© AP Images)

Manger des aliments sains

Étalage multicolore de fruits et de légumes dans un marché. (Aleksandar Mijatovic/Shutterstock)
Les fruits et les légumes jouent un rôle important dans une alimentation bonne pour le cœur. (Aleksandar Mijatovic/Shutterstock)

Pratiquer régulièrement une activité physique

Deux cyclistes sur une route (© AP Images)
Trente minutes d’exercice physique, cinq jours par semaine, peuvent maintenir le système cardiovasculaire en bonne santé. (© AP Images)

Connaître sa tension artérielle

Une infirmière mesure la tension artérielle d’une patiente. (© AP Images)
Faire vérifier régulièrement sa tension artérielle permet de surveiller le risque de maladie cardiaque. (© AP Images)

Consommer toute boisson alcoolisée avec modération

Une rangée de bouteilles d’alcool dans un bar. (Alex Saberi/Shutterstock)
La consommation excessive d’alcool contribue aux maladies cardiovasculaires. (Alex Saberi/Shutterstock)

Pendant que vous faites des efforts pour réduire le risque de maladie cardiovasculaire, les experts poursuivent leurs recherches pour mieux comprendre le fonctionnement de ces maladies et comment les soigner.

Ils travaillent, entre autres, au centre de recherche George Institute for International Health* à Beijing, ville où les maladies cardiovasculaires tuent quelque 2,6 millions de Chinois chaque année. Les chercheurs de cet institut, en partenariat avec des scientifiques basés aux États-Unis, concentrent leurs recherches sur le rôle de l’hypertension dans les maladies cardiaques. Ils tentent de développer des programmes de surveillance de la tension artérielle au sein des collectivités locales et cherchent à donner à ces collectivités les moyens d’entretenir ces programmes de santé publique à long terme.

Le George Institute fait aussi partie des 11 Centres d’excellence* dans le monde qui bénéficient de l’appui de l’Institut national américain pour le cœur, les poumons et le sang et du groupe d’assurance santé américain UnitedHealth.

En partenariat avec la Société chinoise de cardiologie, l’Association américaine du cœur (American Heart Association*) contribue à l’amélioration de la prise en charge des soins cardiaques dans plus de 200 hôpitaux.

L’Association américaine du cœur emploie des milliers d’instructeurs, dans une centaine de pays, qui enseignent les techniques de premiers secours et de réanimation cardiopulmonaire.

 

*en anglais