Dans le cadre de sa première tournée dans la région Asie-Pacifique, le secrétaire d’État Rex Tillerson s’est rendu le 17 mars en Corée du Sud.

« Je suis ici pour exprimer, une fois de plus, et réaffirmer l’alliance indéfectible entre les États-Unis et la République de Corée, cheville ouvrière de la sécurité et de la stabilité dans la péninsule coréenne », a déclaré Rex Tillerson, le chef de la diplomatie américaine.

Lors de sa visite, le secrétaire d’État a rencontré le président sud-coréen par intérim, Hwang Kyo-ahn, et le ministre des Affaires étrangères, Yun Byung-se, pour des discussions qui ont porté sur les questions actuelles de sécurité et les intérêts économiques* touchant les deux pays.

Hwang Kyo-ahn a exprimé l’espoir que la visite de Rex Tillerson serait « l’occasion de réaffirmer notre volonté commune de maintenir et de développer une alliance robuste, et une position de défense conjointe solide, ainsi que l’occasion de tenir des discussions approfondies sur divers dossiers ».

Un point de vue partagé par Rex Tillerson, qui a souhaité souligner « l’importance des liens forts et historiques entre nos peuples, celle de notre coopération économique en plein essor, et comme il a été mentionné, de notre alliance étroite en matière de sécurité ».

Le secrétaire d’État Tillerson : L’alliance USA-Corée est la cheville ouvrière de la sécurité et de la stabilité dans la péninsule coréenne.

Les liens entre la Corée du Sud et les États-Unis sont forts. La Corée du Sud est à présent le 6e partenaire commercial* des États-Unis et elle accueille sur son sol plus de 28 500 soldats américains.

Pour sa première visite officielle à l’étranger, en février, le secrétaire à la Défense James Mattis s’était lui aussi rendu en Corée du Sud et au Japon.

Tilllerson a fait étape au Japon les 15 et 16 mars et ponctuera sa tournée asiatique par des réunions en Chine le 18 mars.

 

*en anglais

 

 

 

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Au-delà de la diplomatie : les échanges universitaires.
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