La liberté d’expression appartient à tout le monde . . . ce jour-là

Un mégaphone géant à New York, symbole de la liberté d'expression.
Un mégaphone géant à New York, baptisé Freedom of Expression National Monument, donne aux visiteurs l’occasion de se faire entendre. (AP Images)

Elle est reconnue dans la constitution de l’Inde en partie grâce à Mahatma Gandhi. Martin Luther King l’a exercée de sa geôle. Si elle n’existait pas, estimait George Washington, les hommes seraient comme des agneaux qu’on mène à l’abattoir. La liberté d’expression nous appartient à tous (c’est la Déclaration universelle des droits de l’Homme qui le dit), et les États-Unis célèbrent cette année la Semaine de la liberté d’expression du 20 au 26 octobre.

« Supprimer la liberté d’expression est un double tort. C’est porter atteinte aux droits de l’auditeur comme à ceux du locuteur. »

Tout le monde, partout, a intérêt à ce que la liberté d’expression sur internet soit préservée. Cliquer ici pour en savoir plus.

Pour Frederick Douglass, réformateur et abolitionniste, « la liberté est futile là où le droit d’exprimer ses pensées et ses opinions a cessé d’exister. De tous les droits, c’est celui que les tyrans redoutent le plus. . . Supprimer la liberté d’expression est un double tort. C’est porter atteinte aux droits de l’auditeur comme à ceux du locuteur. »