Les États-Unis, terre d’asile pour de nombreuses nationalités

Les États-Unis sont en passe d’accueillir 85 000 réfugiés cette année budgétaire, qui se termine le 30 septembre. La majorité de ceux qui vont repartir à zéro aux USA cette année viennent de la République démocratique du Congo, de Birmanie, de Syrie, d’Irak et de Somalie.

Les États-Unis ouvrent leurs portes aux réfugiés d’un grand nombre de pays. Ces réfugiés sont les plus vulnérables parmi ceux qui ne peuvent pas rentrer chez eux parce qu’ils ont peur, à juste titre, d’être persécutés sur la base de leur religion, origine ethnique, nationalité, opinion politique ou appartenance à un groupe social particulier.

Graphique à barres montrant le pays d’origine des réfugiés venus aux États-Unis (Département d’État/S. Gemeny Wilkinson)
(Département d’État/S. Gemeny Wilkinson)

Les réfugiés déposent une demande d’asile et sont reçus en entretien avec un agent de l’immigration à l’étranger. Une fois que leur dossier est approuvé, ils sont réinstallés un peu partout aux États-Unis. Grâce à tout un éventail de programmes, le gouvernement américain aide les réfugiés à trouver un logement, acheter de quoi manger, inscrire les enfants à l’école, apprendre l’anglais et décrocher un emploi.