La planète se réchauffe, avec tout le cortège de conséquences que cela entraîne. Dans ce contexte, l’adaptation des villes est un enjeu important, qu’il s’agisse de ralentir le changement climatique, de pallier la dégradation de l’environnement ou de favoriser les énergies de remplacement. Et les villes relèvent le défi : elles mettent en place des politiques novatrices, qui sont fréquemment reprises au niveau fédéral et des États. Souvent, ce sont elles qui donnent le ton au reste du pays.

Réduire les émissions de carbone
Grâce aux normes du gouvernement fédéral et des États qui font la chasse aux émissions polluantes des véhicules, les voitures et les autobus polluent moins que jamais. Mais plusieurs villes américaines veulent faire encore mieux. Elles mènent des essais avec des sources de carburants de remplacement qui ne produiraient aucune émission.

Avec ses 2 200 bus, grosso modo, qui roulent au gaz naturel, Los Angeles fait indiscutablement figure de leader dans la réduction des émissions de carbone produites par les transports en commun. Depuis qu’elle a adopté ce carburant écologique, les émissions de gaz à effet de serre ont diminué de 136 tonnes par jour.
Mais pourquoi s’arrêter là ? En 2014, Los Angeles a mis en service le premier d’un parc de cinq bus électriques. Chaque véhicule est équipé pour transporter 120 passagers et a une autonomie de 275 kilomètres. De quoi faire plaisir aux usagers, qui ont bien besoin des transports en commun pour se déplacer dans cette métropole.
Vous voulez en savoir plus sur ce qui se fait dans le monde pour lutter contre le changement climatique ? Suivez le sommet mondial sur le climat, intitulé COP22, du 7 au 18 novembre, sur @US_Center* et utilisez les hashtags #ActOnClimate* et #AskUSCenter*.
*en anglais