L’union fait la force. Un dicton qui s’applique à beaucoup de situations, y compris aux coopératives d’affaires. En se regroupant et en mettant leurs ressources en commun, les gens peuvent obtenir de meilleurs résultats que s’ils faisaient cavalier seul. Exemple : un agriculteur n’a pas les moyens d’acheter des outils modernes. Quand ils partagent les outils entre eux, les agriculteurs ont accès à moindre coût à ceux dont ils ont besoin. Une bonne solution pour notre cultivateur peu fortuné, qui va pouvoir mettre à profit les nouvelles technologies pour accroître sa production sans avoir à dépenser de l’argent.
À l’approche du Sommet mondial de l’entrepreneuriat 2015*, les yeux sont tournés sur l’Afrique, où le Kenya co-accueille le sommet cette année. Les coopératives contribuent au bien-être des communautés et à la création d’emplois sur tout le continent.
Deux exemples de coopératives africaines :
En Tanzanie, douze Africaines de l’association agricole Wanawake Kwanza (Les femmes en premier) ont fait pousser assez de légumes sur un lopin de terre de 0,4 hectare pour économiser 500 dollars sur deux mois. Impressionnée, la commune leur a donné 0,6 hectare de plus à cultiver. D’autres villageoises ont noté leur succès et commencé à former leurs propres petits groupes.
Au Somaliland, la couture est le domaine des hommes, mais pour ces femmes, la couture était la possibilité de former une coopérative avec leurs propres créations. Elles ont soumis un plan d’affaires, et avec un don des États-Unis, elles ont réalisé leur rêve.
Ce genre de coopératives et d’autres encore existent dans le monde entier. Si vous voulez vous joindre à l’une d’entre elles ou former la vôtre, suivez #GES2015Kenya*.
*en anglais
