AGOA

Dans le cadre de la Loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique, des entreprises subsahariennes peuvent exporter leurs produits en franchise de droits aux États-Unis si elles remplissent certains critères.

Le géant de l’habillement PVH a fait de l’Éthiopie un élément important de sa chaîne d’approvisionnement. Et pour cause : il trouve sur place tout ce dont il a besoin. Même un parc industriel respectueux de l’environnement et qui emploie des milliers de femmes.

En vertu de la Loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique (AGOA), les entreprises de pays d’Afrique subsaharienne peuvent exporter des produits aux États-Unis en franchise de douane. Découvrez comment tirer bénéfice de cette loi américaine.

Regardez ce que le président Trump et d'autres grands dirigeants déclarent à propos des échanges commerciaux entre les États-Unis et l'Afrique.

Grâce à la loi AGOA, cette entreprise de mode ougandaise est compétitive sur le marché américain et les États-Unis bénéficient des marchés ouverts dans certains pays d'Afrique.

Ces partenariats entre des entreprises américaines et africaines ont contribué à une hausse des échanges commerciaux entre les États-Unis et l'Afrique chiffrée à 10 milliards de dollars depuis 2000.

Swahili African Modern, une entreprise américaine qui vend des objets d’artisanat africain, veut maintenant trouver de nouveaux fournisseurs en Afrique de l’Est dans le cadre d'un programme soutenu par les États-Unis.

Comment le beurre de karité et d’autres produits de beauté traditionnels africains sont-ils arrivés dans les rayons des magasins américains ? C’est en grande partie grâce à des entreprises comme Alaffia, qui pratiquent le commerce équitable.

Promulguée en 2000 et prorogée de 10 ans en juin 2015, la Loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique (AGOA) a créé des centaines de milliers d'emplois sur le continent.