Un investissement dans les filles est un investissement dans la société, avec de réels bénéfices sociaux et économiques à la clé. Des gouvernements plus inclusifs, des enfants en meilleure santé, une croissance économique plus forte et qui profite à tous : voilà souvent ce qu’on observe dans les pays où les femmes sont instruites.
Voici quelques exemples :

Les raisons d’investir dans les femmes et les filles sont nombreuses, qu’on souhaite encourager une paix durable ou accroître les rendements agricoles, entre autres.

Investir dans les filles est une question de bon sens. L’USAID a calculé que, pour chaque année supplémentaire d’études dans le secondaire, une fille verra son salaire augmenter d’environ 20 %.

Les filles qui font des études réinvestissent plus tard 90 % de leurs revenus dans leur famille. Chez les garçons, ce pourcentage tombe à 35 %, souligne Daniel Epstein, cofondateur de Girl Effect Accelerator. D’où la conclusion de l’économiste Lawrence Summers : « L’investissement dans l’éducation des filles pourrait bien être l’investissement le plus rentable dans le monde en développement. »

Les organisations pour filles en sont bien conscientes. De nos jours, les Girl Scouts peuvent obtenir des badges de récompense dans la filière STEM (sciences, technologie, ingénierie et math), en plus des badges pour les activités classiques, comme les randonnées, les soins de premiers secours et la peinture.

Où trouvera-t-on la femme de demain ? Peut-être sur Mars. À l’âge de 13 ans seulement, Alyssa Carson avait fait une présentation TEDx* pour promouvoir l’exploration spatiale. Maintenant, elle se prépare à entreprendre une mission vers Mars en étudiant des langues étrangères, les maths et les sciences, et en participant à la construction de robots dans des camps d’initiation aux études spatiales.

Entretemps, sur Terre, la Première Dame Michelle Obama œuvre activement pour promouvoir l’éducation des femmes et des filles par le biais de différents programmes, dont l’initiative « Laissez les filles s’instruire ». Rejoignez la Première Dame sur #62milliongirls*.
*en anglais