Extrémistes violents, prenez garde : un nouvel ennemi vous a dans le collimateur.

Des jeunes du monde entier s’attaquent aujourd’hui aux causes fondamentales de l’extrémisme. Plus de 70 jeunes leaders des quatre coins de la planète se sont récemment réunis à New York pour arrêter un programme d’action. Un programme qu’ils ont ensuite présenté au président Obama lors du Sommet des leaders* sur la lutte contre l’EIIL et l’extrémisme violent.

Voici certains de leurs projets :

Un homme souriant, portant une calotte musulmane, avec une citation sur l’image : « Je veux dissocier l’islam des intentions destructrices. » (Département d’État)
(Département d’État)

Ahmed a été blessé en 2010 dans des attentats à la bombe perpétrés à Kampala, en Ouganda. Remis de ses blessures, il dirige actuellement un centre de formation où des imams discutent des moyens de sensibiliser les jeunes musulmans aux enseignements pacifiques de leur religion.

Une femme souriante, portant le voile, avec une citation sur l’image : « Le but, c’est de corriger les idées fausses. » (Département d’État)
(Département d’État)

« La communication est parfois négligée dans la lutte contre l’extrémisme violent », fait observer Widyan. Elle dirige Point*, une revue en ligne qui se propose de contrer la désinformation répandue par al-Qaïda et d’autres groupes extrémistes en apprenant aux jeunes Australiens à la reconnaître.

Un homme souriant, portant un chapeau de laine, avec une citation sur l’image : « J’étais un extrémiste violent. »  (Département d’État)
(Département d’État)

Adolescent, le Camerounais Achaleke s’est trouvé pris dans les filets de l’extrémisme. Mais il s’en est dégagé et a décidé d’aider les autres à en faire de même. Aujourd’hui, il dirige un programme qui cherche à éveiller l’intérêt des enfants pour le théâtre : une façon de les tenir à l’écart des extrémistes.

Une femme souriante, portant le voile, avec une citation sur l’image : « Je veux laisser les gens s’exprimer par eux-mêmes. »  (Département d’État)
(Département d’État)

Abla voulait que les adultes se mettent davantage à l’écoute des jeunes dans la lutte contre l’extrémisme violent. Alors, elle a lancé une campagne sur les réseaux sociaux.

Ajoutez votre voix à la campagne d’Abla en tweetant à #ifmyvoicewasheard ; et pour en savoir plus sur les efforts des jeunes contre l’extrémisme violent, suivez #Youth4Peace*.

 

*en anglais